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/ École d'optométrie

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Objectif
1 120 000 $

Comprendre les facteurs de risque des maladies vasculaires rétiniennes

Enjeux

Les conditions de santé cardiométaboliques telles que le diabète ou l'hypertension s'accompagnent du risque de développer des problèmes rétiniens conduisant à la cécité. Les optométristes ne sont souvent pas en mesure de diagnostiquer efficacement ces conditions aux premiers stades de la maladie en raison du manque de biomarqueurs fiables.

Projet

Nous visons à diagnostiquer les maladies rétiniennes en utilisant des approches translationnelles. Une biobanque sera liée aux données d'imagerie rétinienne afin d'en déterminer les marqueurs biochimiques.
À l'aide de modèles in vitro/ex vivo, nous établirons une plateforme pour mieux comprendre les facteurs de risque conduisant aux dommages rétiniens et pour permettre la détection précoce.

La clinique reçoit quotidiennement des patients diabétiques ou hypertendus à risque de développer des pathologies rétiniennes. Ces patients visitent régulièrement la CUV chaque année, et cet aspect permettra d'effectuer facilement des études longitudinales de la population québécoise.

En plus de nouveaux équipements et du réaménagement de locaux, il faudra embaucher du personnel, par exemple du personnel infirmier pour le recrutement de patients et la prise de sang, de même qu'un(e) technicien(ne) de laboratoire.

Pour en connaître davantage sur ce projet

 

Retombées attendues

Identifier des biomarqueurs avec une base de données biochimique est d'une importance primordiale pour déterminer la gravité de la maladie.

Notre idée de lier ces biomarqueurs à ceux obtenus à l’aide de l'imagerie présente l'avantage d’établir un outil non invasif et rentable pour les optométristes afin de fournir un diagnostic plus précis et plus précoce à ces patients.