Université de Montréal / École d'optométrie

Claude Beaulne a été le premier professeur temps plein de l’École d’optométrie.

Il y a occupé plusieurs postes à l'École d'optométrie, dont celui de directeur à trois reprises. C’est sous sa direction que le programme de Doctorat en optométrie a vu le jour et que l’École a obtenu sa première accréditation Nord-américaine.

Il a été également actif au sein de l'Ordre et de l'Association des optométristes du Québec.

Mémoire collective vivante de la profession, il a rédigé deux ouvrages sur l’histoire de la profession.

Etty Bitton est la directrice des stages externes à l'École d'optométrie. Titulaire d’une maîtrise en sciences de la vision, elle se spécialise dans la sécheresse oculaire.

Directrice des stages externes à l’École d’optométrie, elle y enseigne depuis plusieurs années. Reconnue pour son dévouement par la communauté étudiante, elle a reçu de nombreuses distinctions pour l’excellence de son enseignement. L’Association of Optometric Contact Lens Educators lui a accordé, en 2017, le prix commémoratif Lester B. Janoff. La même année, elle recevait le prix Dr Mae Booth-Jones des Women in Optometry.

Grâce aux développements technologiques récents dans le domaine de l’imagerie, la Dre Bitton a pu effectuer des analyses longitudinales permettant la quantification de l’évolution de la zone du bris de larmes.

L'ÉOUM souligne sa contribution remarquable à l’enseignement de l’optométrie et son rôle déterminant en sécheresse oculaire en lui remettant le titre de 112e bâtisseur de l'École d'optométrie.

Louis H. Boivin s’est impliqué dans de nombreux comités de l’Ordre des optométristes, en particulier au niveau de la revue Optométrie, dont il a été un collaborateur assidu.

Il a été le premier optométriste du Québec a obtenir un doctorat de 3e cycle (Ph.D.).

Daniel Brazeau est un expert du domaine de la contactologie. Il a su se distinguer tant par son enseignement clinique à l'École d'optométrie et à la formation continue que par sa réussite professionnelle au sein d’une pratique multidisciplinaire.

Il est le responsable scientifique du Colloque International sur l'œil et la lentille de contact depuis 28 ans et a siégé à plusieurs comités de l‘Ordre (OOQ), de l'Association (AOQ) et du Centre de Perfectionnement et de Référence en optométrie (CPRO).

Marie-Ève Corbeil a obtenu son doctorat en optométrie en 2001 et une maîtrise en sciences de la vision à l’École d’optométrie de l’Université de Montréal en 2006. Elle devient rapidement chargée de cours et de clinique à l’École d’optométrie et par la suite, professeure adjointe à demi temps en 2009. En 2014, elle devient Fellow de l’American Academy of Optometry et obtient l’agrégation en 2015. Dès le début de sa pratique, elle oriente ses soins vers les enfants, particulièrement ceux d’âge préscolaire. En 2007, elle se voit confier la responsabilité de la clinique d’optométrie pédiatrique. Sous son impulsion, la clinique connait un essor remarquable, passant de moins de 400 examens annuellement à plus de 1500 quelques années plus tard.

En 2015, elle participe à l’implantation de la Clinique l’Extension, clinique interprofessionnelle qui offre des soins visuels, dentaires et orthopédagogiques aux enfants du quartier Parc-Extension à Montréal. Pendant les deux premières années d’opération de la clinique, plus de 700 dépistages visuels ont été effectués, près de 250 enfants ont été référés pour des examens complets et plus de 100 paires de lunettes ont été distribuées gratuitement à des enfants issus de milieux défavorisés.

Au cours de sa carrière professorale, Dre Corbeil a également supervisé de nombreuses équipes de travaux de recherche d’étudiants en optométrie et a participé activement à la vie académique de ces derniers. Ils ont d’ailleurs témoigné de leur appréciation pour cette professeure en lui remettant en juin 2017 le prix d’excellence en enseignement.

En plus de ses activités professionnelles à l’École d’optométrie, Dre Corbeil est membre du conseil d’administration de l’Ordre des optométristes du Québec et membre du comité de l’exercice clinique. Elle participe à la formation continue des optométristes en donnant ateliers et conférences, elle est une porte-parole recherchée pour faire la promotion des soins oculovisuels à prodiguer aux enfants, tout cela en s’impliquant activement dans sa pratique privée en partenariat avec plusieurs collègues optométristes et opticiens.

Henri E. Côté a été nommé professeur à l'École d'optométrie en 1930 et sa carrière se prolongea durant de nombreuses années. Il s'est illustré dans le domaine de l'optique mécanique, précurseur de l’optique ophtalmique.

Il publia des articles d’intérêt professionnel dans la revue de l’Association des Opticiens et Optométristes de la Province de Québec.

Danielle de Guise, pilier incontournable de la vision binoculaire et de l’orthoptique, enseigne ces matières depuis plus de 30 ans à l'École d'optométrie. Elle a permis aux optométristes d'occuper ce champ de pratique qui leur a été reconnu de façon exclusive par le législateur.

Elle a reçu à plusieurs reprises le prix du professeur ou clinicien de l’année de la part des étudiants.

Depuis 5 ans, elle dirige le programme de résidence en vision binoculaire afin d’assurer la formation d’une relève spécialisée dans son domaine.

Pierre Forcier, professeur agrégé à l’École d’optométrie, a été directeur de la Clinique universitaire de la vision de 1996 à mai 2002, il est directeur adjoint et assume la responsabilité du 1^er cycle depuis avril 2004. Il a été l'un des principaux artisans du plus important effort de formation continue de l'histoire de la profession (médicaments thérapeutiques).

En raison de son expertise en santé oculaire, le Dr Forcier agit souvent comme témoin pour l’Ordre des Optométristes. Il a occupé plusieurs fonctions dans des comités au sein de la profession.

Daniel Forthomme, détenteur d’un doctorat en pathologie, a enseigné la lentille de contact et la physiologie cornéenne durant de nombreuses années, léguant sa passion à plusieurs générations d’optométristes.

Directeur de l'École d'optométrie de 1985 à 1989, il a amélioré la qualification académique du corps professoral en permettant à plusieurs jeunes professeurs de poursuivre leurs études et d’obtenir leur diplôme de 3^e cycle (Ph.D.). C’est également sous son mandat que l’École a été relocalisée au 3744 Jean-Brillant.

Il a organisé, avec les étudiants, plus d'une dizaine de missions humanitaires.

Jacques Gresset, directeur de l'École d'optométrie depuis 2003, est le premier optométriste au Québec à détenir une formation spécialisée en épidémiologie. Il a été le premier optométriste à obtenir le titre de chercheur Santé Canada en 1995. Il est l’auteur de plusieurs publications, avec des chercheurs en ophtalmologie, favorisant ainsi la collaboration entre les deux professions.

En clinique, il s’est intéressé principalement à la basse vision. Il est à l’origine du partenariat entre l’École d’optométrie et l’Institut Nazareth et Louis-Braille. Il a occupé diverses fonctions d'expertise pour l'Ordre et l'Association des optométristes, et a été président du CPRO de 2007 à 2009.

Hélène Kergoat est professeure à l'École depuis 20 ans et fut la première femme diplômée de l'École d'optométrie a obtenir un Ph.D., le rang de professeur titulaire et le statut convoité de chercheur-boursier.

Consciente des changements démographiques et de la nécessaire adaptation de l'offre des soins et services à la clientèle, elle est une pionnière dans l'enseignement des soins optométriques gériatriques au Canada.

Nicole Lapierre a été la première professeure de l'École d'optométrie de l'Université de Montréal.

Pionnière, on lui doit l'entrée dans le cursus universitaire de l'approche scientifique de l’orthoptique dans le traitement des problèmes de vision binoculaire.

Son expertise l’a amenée à être consultante pour le Comité Consultatif de l’A.Q.E.T.A., une association pour les enfants en trouble d’apprentissage.

Depuis 1983, Dre Julie Laurin, optométriste, exerce sa profession à la fois en pratique privée et en enseignement à l'École d'optométrie de l'Université de Montréal. Au cours des 37 dernières années en enseignement, elle a occupé différents postes: chargée de laboratoire en lentilles cornéennes et en basse vision, professeure invitée, chargée de clinique en lentilles cornéennes et principalement en clinique générale.

Elle a également participé à l'élaboration d'un cours sur les tests de laboratoire lors de la formation offerte aux optométristes en vue de l'obtention du droit d'administrer des médicaments thérapeutiques (1999). Pendant plusieurs années, elle établi des liens avec l'Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal pour que certains de leurs patients puissent être examinés par nos étudiants. La santé oculaire et son implication comme reflet de l'état de la santé globale du patient ont toujours été de premier intérêt dans sa pratique.

Nous sommes convaincus que durant son parcours en enseignement, elle a su transmettre sa passion pour l'optométrie, cette vaste et merveilleuse profession. Nous la considérons comme un modèle de rigueur et de professionnalisme pour toutes ces promotions d'optométristes.

C’est avec grand plaisir que nous l’accueillons à titre de Bâtisseur de l’École d’optométrie.

Dre Lucie Laurin a participé à la fondation du RAP-86, puis est devenue vice-présidente de IRIS, le Groupe Visuel. Elle a ainsi permis le développement de la pratique optométrique de pointe. Elle a enseigné à l'École d'optométrie de 1986 à 1991 et est toujours active en formation continue.

John V. Lovasik est diplômé de l’Université de Waterloo en 1974. il a été directeur de l'École d'optométrie de 1989-1995.

C'est sous son mandat et grâce à son leadership que l'École s'est développée au plan de la recherche et a pu être reconnue auprès des grands organismes subventionnaires.

Sa contribution scientifique exceptionnelle lui a valu de recevoir le Prix Glen Fry de l’American Academy of Optometry.

Edgar Lussier a été pendant de nombreuses années professeur à l’École d’optométrie. En 1946, il en devint le secrétaire et responsable de la clinique.

Il était l’époux de de la Dre Pauline Caron, première femme diplômée de l'École affiliée l’Université de Montréal.

Alfred Mignot a été professeur à l’École d’optométrie dès 1913. Il fut signataire du contrat d’affiliation de l’EOUM avec l’Université de Montréal (1925).

Il est le deuxième à avoir occupé à la fois les postes de directeur de l'École d'optométrie (1941-1953) et de président de l'Ordre des optométristes, et ce, à trois reprises (1917-1919; 1923-1927; 1949-1950).

Il a été membre fondateur et président de l’Association Canadienne des Optométristes (1943-1945).

Professeur pendant 44 ans à l’École d’optométrie, Dr Yves Papineau a influencé de nombreuses générations d'optométristes en enseignant les bases de la profession: l'optique géométrique, l’ophtalmoscopie, la rétinoscopie et la vision sous-normale.

Il a été directeur de l'École d'optométrie de 1973 à 1977 et a servi d’expert à plusieurs reprises pour l’Association des optométristes du Québec.

Alors qu’il est professeur depuis 1920, Dr Alphonse Phaneuf représente l’École à la signature de l’affiliation à l’Université de Montréal en 1925. Il a été directeur de l'École d'optométrie de 1925 à 1941.

Il est l'un des deux seuls optométristes à avoir occupé le poste de président de l’Association des Optométristes et Opticiens de la Province de Québec à trois reprises, soit de 1915 à 1917, puis de 1927 à 1928 et finalement de 1931 à 1932.

Il fut également rédacteur de la revue Optométrie, ancêtre de la RCO/CJO.

Nadia Marie Quesnel est professeure à l'École d'optométrie depuis 1999, après avoir été chargée de clinique pendant 20 ans. Ses domaines d’expertise sont le segment antérieur, la lentille cornéenne et la chirurgie réfractive.

Elle a travaillé au rapprochement entre l'optométrie et l'ophtalmologie, notamment par la mise sur pied de programmes de formation en soins pré et post-opératoires ainsi que d'un programme de résidence en santé oculaire.

Elle occupe le poste de présidente du Comité de l'Inspection professionnelle de l'Ordre des optométristes depuis 2010 et est la représentante de l’École au sein du CPRO.

Yvon Rhéaume enseigne la pathologie oculaire depuis plus de 35 ans. Il a été un pionnier dans ce domaine en optométrie et fut un promoteur ardent du développement du champ de pratique optométrique.

Il a participé à la formation et à l'éducation continue de centaines d'optométristes, lors de cours ou de stages, notamment dans le programme du doctorat et celui sur les agents pharmaceutiques thérapeutiques.

Il est un membre actif de l'Ordre des optométristes et de l'Association des optométristes et a siégé à de nombreux comités d'experts interdisciplinaires sur des sujets touchant la pathologie oculaire.

Pierre Simonet a été pionnier dans l’enseignement de l’optique ophtalmique moderne, solidifiant les bases mêmes de notre profession durant des décennies.

Il a été directeur de l'École d'optométrie de 1995 à 2003. Son mandat a été caractérisé par le l’atteinte de l’équilibre budgétaire à l'École d'optométrie.

Il occupe les fonctions de vice-provost et vice-recteur à la planification, le premier optométriste à gravir de tels échelons dans la hiérarchie universitaire.

Ses mérites professionnels et académiques ont été reconnus par des prix de l’Association des optométristes du Québec et du Conseil Interprofessionnel du Québec (CIQ).

Jacob G. Sivak a obtenu son diplôme d’optométriste de l'Université de Montréal et un doctorat en physiologie de l'Université Cornell. Il est une autorité internationale dans le domaine des sciences de la vision et dans le domaine du développement des erreurs de réfraction oculaire.

C’est le premier optométriste canadien dont les travaux de recherche ont fait l'objet d'un financement par les grands organismes subventionnaires.

Après avoir dirigé l'École d'optométrie de l'University of Waterloo durant quatre mandats, il a occupé les fonctions de doyen de la Faculté des études supérieures de cette institution.

Henri Allard a participé à la création de Société Ophtalmique Allard et Moreau en 1963, devenue Instruments ophtalmiques AM en 1970, puis Topcon Canada en 1999.

Reconnaissant avant l’heure l’importance de compter sur des outils de pointe en santé, il a contribué au développement et à l'intégration de nouvelles technologies à la pratique optométrique au Canada.

Rock Beaulieu a établi une pratique optométrique de groupe composée de plusieurs bureaux en Côte Nord, en Gaspésie et ailleurs au Québec, contribuant significativement à la distribution géographique exemplaire de l'optométrie québécoise.

Il a été également à l'origine d'un regroupement d'optométristes régionaux qui a donné naissance à la bannière IRIS en 1988.

Dr Beaulieu est impliqué activement dans deux coopératives de l'optique, soit à la présidence de Regard Action, secrétaire trésorier de Cooptic et président de Laboratoire Cooptic inc., un laboratoire privé détenu majoritairement par ces deux coopératives.

Jean-Louis Blanchard a été le fondateur du premier laboratoire québécois de lentilles cornéennes (Véracon, 1963).

Il a permis à la profession d'occuper ce créneau à une époque où ce domaine était monopolisé par des compagnies américaines.

Il fut également impliqué dans Optique Richelieu, premier regroupement d'achat optométrique au Québec.

Léo Breton s'est illustré comme chargé de formation clinique en lentilles cornéennes à l'École d'optométrie de l'Université de Montréal, de même qu’en formation continue en Europe.

Il a établi une pratique privée florissante, regroupant optométristes, opticiens et un ophtalmologiste.

Depuis plus de 10 ans, il a occupé des fonctions administratives importantes à l'Ordre des optométristes du Québec, dont il est trésorier et membre du comité exécutif.

Il a participé activement au développement du regroupement et de la bannière Opto-Réseau en en assumant la présidence et la croissance.

Nathalie Brien s'est impliquée comme propriétaire des cliniques d'optométrie au sein d'une chaîne d'optique, aidant à valoriser le rôle de l’optométriste dans un contexte commercial multidisciplinaire.

Elle a été également visionnaire en permettant à l'optométrie une implication en clinique médicale multi-services privée.

Elle est aussi distributrice d'une ligne de montures françaises haut de gamme pour l'Amérique du Nord. De par ses contacts politiques et artistiques, elle assure un rayonnement unique à la profession d'optométriste.

Pierre Descary, promotion 1961, a été le président fondateur de l'Institut d'optométrie du Québec (IOQ).

Il a été l'un des premiers à identifier le besoin d'une formation continue afin d'élever et de maintenir le niveau des optométristes au Québec.

Intéressé à la pathologie oculaire avant tous, il a posé les jalons qui ont mené à la reconnaissance de l'optométrie par le gouvernement avec l’entrée dans le programme d'assurance maladie du Québec.

Luc Doyle est connu comme un entrepreneur à succès en optométrie.

Il a été l'un des premiers à utiliser les moyens techniques, technologiques et administratifs modernes et à les appliquer en optométrie.

Son modèle de pratique privilégie la collaboration entre les optométristes, les opticiens d’ordonnance et les ophtalmologistes.

C’est en 1996 que l’un des plus importants regroupements de cliniques d’optométrie au Québec OPTO RÉSEAU voit le jour, grâce à François Gendron et Renée Guertin. Ces derniers ont un objectif bien précis en créant ce grand réseau d’optométristes et de cliniques, donner un outil aux propriétaires indépendants afin de concurrencer les géants du marché, notamment les grandes chaînes. C’est avec persévérance et détermination qu’ils ont fait naître dans leur sous-sol ce réseau d’optométristes au Québec. Ils ont su faire grandir et proliférer cette organisation en conservant les valeurs qui les guidaient dès le premier jour.

La qualité des soins optométriques prodigués dans les cliniques sous la bannière OPTO-RÉSEAU est au coeur des actions de ce regroupement. La qualité des soins a permis d’obtenir les rendements commerciaux nécessaires au financement d’équipement de pointe permettant ainsi de maintenir les plus hauts standards qui caractérisent l’optométrie contemporaine. C’est en créant des liens forts et durables orientés vers le respect et la collaboration avec les employés comme avec les acteurs de l’industrie que les docteurs Gendron et Guertin ont fait une différence et sont devenus des leaders dans le domaine de l’optométrie.

Appréciés de tous, ces bâtisseurs n’ont jamais compté leurs heures et c’est par leur engagement et leur dévouement qu’ils ont permis de mettre en place la bannière OPTO-RÉSEAU qui compte maintenant plus de 60 points de vente au Québec.

Raouf Greiche (1976)Dr Raouf Greiche, cofondateur de l'entreprise Greiche & Scaff, l’un des premiers groupes organisés au plan commercial en optométrie.

Il est reconnu pour son soutien aux jeunes optométristes. Il est un donateur généreux et fidèle de l'École d'optométrie.

C’est en 1996 que l’un des plus importants regroupements de cliniques d’optométrie au Québec OPTO RÉSEAU voit le jour, grâce à François Gendron et Renée Guertin. Ces derniers ont un objectif bien précis en créant ce grand réseau d’optométristes et de cliniques : donner un outil aux propriétaires indépendants afin de concurrencer les géants du marché, notamment les grandes chaînes. C’est avec persévérance et détermination qu’ils ont fait naître dans leur sous-sol… ce réseau d’optométristes au Québec. Ils ont su faire grandir et proliférer cette organisation en conservant les valeurs qui les guidaient dès le premier jour.

La qualité des soins optométriques prodigués dans les cliniques sous la bannière OPTO-RÉSEAU est au coeur des actions de ce regroupement. La qualité des soins a permis d’obtenir les rendements commerciaux nécessaires au financement d’équipement de pointe permettant ainsi de maintenir les plus hauts standards qui caractérisent l’optométrie contemporaine. C’est en créant des liens forts et durables orientés vers le respect et la collaboration avec les employés comme avec les acteurs de l’industrie que les docteurs Gendron et Guertin ont fait une différence et sont devenus des leaders dans le domaine de l’optométrie.

Appréciés de tous, ces bâtisseurs n’ont jamais compté leurs heures et c’est par leur engagement et leur dévouement qu’ils ont permis de mettre en place la bannière OPTO-RÉSEAU qui compte maintenant plus de 60 points de vente au Québec.

Herman Jalbert est membre fondateur de l'un des premiers regroupement d'achats établi par des optométristes (Opto-Choix, 1985).

Dans les années 90, il négocia la fusion de ce regroupement avec RAP-86, qui devint IRIS, le groupe visuel.

Il a siégé à plusieurs comités de l’Ordre des optométristes du Québec, de même qu’au conseil de discipline.

Francis Jean a fondé le RAP-86 avec trois de ses collègues de promotion, établissant la relève des groupes organisés au plan commercial en optométrie.

Ce regroupement s'est fusionné au groupe IRIS, dont le docteur Jean est devenu le président-directeur général au début des années 90.

De par sa vision et son action, il a transformé l'offre commerciale des optométristes au Canada. IRIS, le Groupe Visuel est considéré maintenant comme le plus grand réseau de franchisés en optique au Canada.

Le docteur Jean est également reconnu pour sa grande générosité envers son alma mater.

Michel Laliberté (1962)Dr Michel Laliberté fut l'un des membres fondateur de IRIS, premier groupe de franchises en optométrie.

De plus, il a établi une pratique commerciale à succès dans la région de l'Outaouais et a contribué à la présence optométrique dans plusieurs régions du Québec.

Dary Lavallée a enseigné à l'École d'optométrie, au début des années 90, alors que cette dernière se renouvellait au plan pédagogique et s’ouvrait à la recherche. Il a participé à cet effort de modernisation essentiel de l'École.

Il est reconnu également pour ses qualités de gestionnaire en optométrie.

Président du comité pancanadien qui a mis sur pied le Board national (Examen canadien en optométrie). Il a été également président du comité d'admission à l'exercice de l'optométrie pour l’Ordre des optométristes du Québec pendant 6 ans.

Il est connu comme participant actif aux missions humanitaires d’Optométristes Sans Frontières.

Très tôt, Frédéric Marchand a démontré de véritables qualités de leader. Président de l’Association des Étudiants en Optométrie de l’Université de Montréal (AÉOUM), son implication lui a également valu le titre d’étudiant de l’année 2001, année de sa graduation. Sitôt diplômé, il a été élu administrateur de l’Association des Optométristes du Québec où il siège, depuis, à titre de membre du Comité de direction. À ce poste, il se distingue par son dynamisme et sa volonté de défendre les intérêts et les idées de la relève optométrique.

Vice-président du Groupe Marchand depuis 2005, il voit à la gestion de ce réseau qui compte le plus grand nombre de professionnels de soins visuels au Québec. Son travail au sein de ce groupe et sa vision des soins professionnels ont permis de créer des liens de partenariat efficace Optométrie-Ophtalmologie. Le modèle précurseur, développé par la création du Centre Oculaire de Québec, est un bel exemple des soins oculo-visuels de l’avenir au Québec.

Frédéric Marchand est le fier héritier d’une longue tradition optométrique. On retrouve d’ailleurs son père René et son grand-père J-Raymond Marchand, optométristes, parmi les 100 premiers « Bâtisseurs » sélectionnés, en 2010, par l’École d’optométrie.

René Marchand aura permis à l'optométrie de s'établir et de rayonner dans la grande région de Québec.

Son organisation florissante est présente dans la plupart des régions du Québec et a été à l'origine du développement du Centre oculaire de Québec, l'une des premières cliniques de soins optométriques et ophtalmologiques réunis sous un même toit.

Il a occupé plusieurs fonctions importantes au sein de l’Association des optométristes, participant à l’intégration de la profession dans le régime d’Assurance maladie du Québec.

Carol Marois - 104^e BâtisseurDiplômé de la promotion 1980, cet optométriste originaire de Thetford Mines a démontré très rapidement sa fibre entrepreneuriale en ouvrant sa clinique d’optométrie dès 1981 à Saint-Thomas-d’Aquin, en s’associant avec Dre Françoise Marsigny. De 1987 à 1993, en plus de son travail d’optométriste, il occupe le poste de président de la Jeune Chambre de commerce maskoutaine. Son intérêt l'amènera aussi à adhérer au Regroupement des jeunes gens d’affaires du Québec en tant que vice-président. C’est finalement en 1994 qu’il est entré au sein du regroupement OptoPlus en tant que membre et président du conseil d’administration où il siègera durant cinq ans.

Monsieur Marois s’est particulièrement intéressé au domaine des lentilles cornéennes au courant de sa carrière. Il a en effet été invité à maintes reprises par l’Association des optométristes du Québec afin de donner des cours à ce sujet. En 1995, il est entré comme membre au Groupe d’étude du Québec en Cornée et en Lentilles cornéennes et en 1997 a participé à l’étude See 3 de Ciba Vision sur les premières lentilles silicones-hydrogels à port continu. Il a aussi réalisé des études cliniques jusqu’en 2004 pour la mise au point de lentilles multifocales pour les laboratoires Opto-Centre et Cooper Vision. En 2005, il est devenu président de la Clinique OptoPlus de Saint-Hyacinthe, clinique qui a reçu la même année le prestigieux Prix Dollar Morin - catégorie entreprise, pour le soutien au bénévolat dans la région. Trois ans plus tard, il prend place comme membre du conseil d’administration de Services Optométriste inc., conseil qu’il préside maintenant depuis 2014.

M. Marois est un modèle de détermination et de persévérance. Il a su tracer sa route dans le monde de l’optométrie de façon remarquable et est maintenant un membre important de la communauté.

Roger Michaud a occupé plusieurs fonctions administratives au sein de l'Association des optométristes du Québec dès les années 70. Il a notamment participé activement aux négociations menant à la reconnaissance de l'optométrie par le gouvernement du Québec dans le cadre de la loi sur l’assurance maladie.

Visionnaire, il a établi, avec les drs Laliberté et Décarie, le premier réseau de franchises optométriques au Québec, le groupe IRIS.

Nagib Scaff, cofondateur de l'entreprise Greiche & Scaff, il a dirigé pendant près de 40 ans un des premiers groupes organisés au plan commercial en optométrie. Il fut le premier à ouvrir des boutiques modernes d’optométrie en centre commercial.

Il est reconnu pour son amour de la profession et demeure un donateur généreux et fidèle de l'École d'optométrie.

Luc Tétreault, diplômé en 1954 avec la mention très grande distinction, il a reçu la Médaille du Lieutenant Gouverneur Général du Québec.

En début de pratique, il s’est investi dans les activités post-graduées scientifiques (Optometric Extension Program) et professionnelles.

En 1963, membre fondateur du conseil du Syndicat professionnel des Optométristes du Québec, connu plus tard comme Association des optométristes du Québec.

Il a été l’instigateur du premier regroupement d'achat en optométrie (Optique Richelieu), en 1963.

Armand R. Bastien, pionnier en contactologie, a influencé l'adaptation de lentilles spécialisées en optométrie alors que ce domaine était réservé à l'ophtalmologie. Il a été président de l'Ordre des optométristes de 1950 à 1952. Il a donné plus de trente séminaires en Europe sous l'égide de la S.O.E. et reçu en stage à son bureau plus d'une trentaine de stagiaires, en plus d'enseigner la rééducation à l'École d'optométrie de 1963 à 1976.

Guy Boissy a été très actif pour représenter sa profession au plan politique, autant au plan municipal (maire de Saint-Lambert) que provincial.

Il a été également secrétaire de l'Association des optométristes du Québec et membre du comité de négociation de la première convention de l'assurance maladie en 1970. Il a été président de l'Ordre des optométristes du Québec en 1981-1982.

Il est l’un des artisans du développement de l'optométrie moderne.

Le lieutenant-colonel Dr J. Arthur Boivin a été impliqué très tôt dans la vie de l'Association des Opticiens et Optométristes de la Province de Québec. Il en a été le président de 1952 à 1958.

Ses mérites ont été reconnus en 1954 par la remise d'un doctorat Honoris Causa par l'Université de Montréal.

Lionel Brochu fut président de l'Ordre des optométristes de 1986 à 1991.

Il a significativement contribué à ce que soit adoptée la loi permettant aux optométristes d'utiliser les médicaments diagnostiques en 1990.

Il a également permis le rayonnement de l’optométrie dans sa région de l’Abitibi.

Steven Carrier s’est toujours impliqué en optométrie depuis ses années à l’association étudiante. Il a rapidement fait le saut à l’Association des optométristes du Québec, où il a occupé diverses fonctions administratives depuis 1985 : secrétaire, trésorier et vice-président. Il en assume la présidence depuis 2005.

Il a également été président du Centre de Perfectionnement et de Référence en Optométrie de 2000 à 2005, président de Protecto-Vision (vision industrielle), filiale de l’Association des optométristes, et il est membre du conseil d’administration de la Fondation québécoise pour la santé visuelle.

Michael Chaiken a été président de l'Ordre des optométristes du Québec à deux reprises de (1991-1993; 1995-2001). Il en demeure à ce jour administrateur et membre de divers comités.

Il a été très influent dans l'harmonisation des liens entre l'Ordre des optométristes, l'Association des optométristes et l'École d'optométrie, jetant les bases qui ont permis à la profession de progresser davantage dans les 20 dernières années que depuis sa fondation.

Il a été un acteur très important dans le cadre de l'adoption de la loi permettant aux optométristes de prescrire les médicaments topiques oculaires.

Lise-Anne Chassé a toujours été impliquée dans la vie professionnelle, d’abord comme étudiante puis au sein de l'Association des optométristes du Québec, où elle a occupé diverses fonctions dont la vice-présidence (1986-1995).

Elle a ensuite fait le saut à l'Ordre des optométristes du Québec, vice-présidente de (1995 à 2001) puis présidente de 2001 à ce jour. Elle s'est fait remarquer par sa grande capacité à créer des liens avec les autres professionnels et elle a contribué à la reconnaissance des optométristes dans le système professionnel québécois.

Elle a été présidente du CPRO de 1995 à 2001, années charnières du programme de formation des optométristes québécois, qui a mené à l'autorisation de prescrire des médicaments à des fins thérapeutiques.

J. Alphida Crête a joué un rôle très significatif dans le développement de la profession et de l’École.

Il fut président de l'Association des Opticiens et Optométristes de la Province de Québec de 1934 à 1949, soit le plus long mandat continu pour un président d'ordre.

Il fut député provincial du Parti Libéral du Québec dans la circonscription de Laviolette (1931). Puis en 1935, député fédéral du Parti Libéral du Canada dans Saint-Maurice—Laflèche. Réélu en 1940, il fut défait en 1945.

Ses mérites ont été reconnus en 1954 par la remise d'un doctorat Honoris Causa par l'Université de Montréal.

Pierre Crevier, promotion 1934, a été président de l'Ordre des optométristes de 1960 à 1969.

Il est connu pour sa devise « Un pas à la fois… »

Sa carrière fut également politique. Il a été maire de Laval-des-Rapides avant que celle-ci ne devienne un quartier de Laval.

Bernard Cyr a occupé de nombreuses fonctions au sein de l’Association des optométristes du Nouveau-Brunswick (AONB) et dans d’autres organisationsprofessionnelles. C’est sous sa présidence que l’AONB a fait les premières démarches pour obtenir un élargissement du champ de pratique de l’optométrie dans cette province en demandant le droit de prescrire des agents pharmaceutiques.

De 1988 à 1994, Bernard Cyr a été tour à tour Vice-président, Président, et Président sortant de l’Association des optométristes du Nouveau-Brunswick. À compter de 2005, il devient membre de l’organisme pancanadien « Examinateurs Canadiens en Optométrie » (ECO) qui évalue le niveau de compétence d’entrée dans la profession des nouveaux diplômés. Trésorier, puis l’un des directeurs au sein de l’organisme, il accède à la présidence de l’ECO en septembre 2010.

Dr Jean-Serge Dagenais a été président de l'Ordre des optométristes de 1983 à 1986.

Il a aussi occupé diverses fonctions au sein de comités de l'Association des optométristes du Québec.

Maurice R. de Meslé fondateur de l'optométrie avec messieurs Coffin, Carrière, Mount, Normandin, Williams et Beaudry, fut le premier président (1905-1907) puis secrétaire (1909-1934) de l'Association des Opticiens et Optométristes de la Province de Québec.

Il participa à la naissance de l’École d'optométrie, dont il fut le secrétaire jusqu'en 1934.

Michel Denault a été président de l'Ordre des optométristes de 1975 à 1981.

Son mandat a été caractérisé par une défense farouche de la profession contre les volontés du législateur de restreindre l'optométriste dans le domaine de la dispensation des orthèses visuelles en adoptant un code de déontologie trop restrictif à cet égard.

Jean-Louis Desrosiers s'est illustré dans toutes les grandes batailles de l'optométrie au début des années 70, notamment les premières négociations avec le gouvernement du Québec (Code des Professions et nouvelle loi sur l'optométrie).

Il fut président du Collège des Optométristes et Opticiens du Québec (1969-1973), puis de l'Ordre des Optométristes du Québec (1973-1975).

Actif en politique, il fut maire de Mont-Joli (1978-1991).

Diplômé du doctorat en optométrie (1984) et de la maîtrise en sciences de la vision, option sciences cliniques, volet réadaptation (2012) de l’Université de Montréal, le Dr Dutrisac a toujours exercé sa profession de manière diversifiée, à la fois en pratique privée et en centre de réadaptation à l’Institut Nazareth et Louis-Braille dès sa graduation. Sa grande expertise clinique est reconnue par ses collègues en réadaptation visuelle, pairs pour qui il fut le mentor à plusieurs reprises.

Dr Dutrisac a contribué à l’enseignement de la basse vision et de la réadaptation visuelle en étant chargé de cours et de clinique au programme du doctorat en optométrie et à celui du diplôme d’études supérieures spécialisées en réadaptation visuelle de son alma mater. Plus spécifiquement, il a développé un grand intérêt clinique pour l’ergonomie visuelle et la conduite automobile des personnes vivant avec une déficience visuelle, domaines pour lesquels il est considéré un expert. De plus, il a participé à plusieurs projets de recherche clinique comme clinicien-chercheur.

Fervent défendeur de l’accessibilité des soins et des services offerts en réadaptation visuelle au Québec, il fut notamment témoin-expert pour plusieurs causes en réadaptation visuelle et consultant-expert auprès de la Régie d’assurance-maladie du Québec pour le programme d’aides visuelles dédié aux personnes vivant avec une déficience visuelle. Depuis de nombreuses années, il s’implique au sein du comité de basse vision de l’Association des optométristes du Québec. Il est respecté pour la rigueur et la justesse de ses interventions réfléchies qui promeuvent l’avenir de la basse vision et de la réadaptation visuelle.

Lorenzo Favreau a été président du Collège des Optométristes et Opticiens du Québec de 1932 à 1934.

Il a été professeur à l’École d’optométrie.

Claude Gareau a écrit de grandes pages de l’histoire de l’optométrie. Il a été un acteur important de par ses fonctions à l'Ordre des optométristes (registraire, secrétaire et directeur général) de 1956 à 1994.

Il a contribué de façon majeure à la mise sur pied des structures institutionnelles et administratives sans lesquelles la profession n'aurait pas connu l'essor des dernières années.

André S. Gauthier a été le premier président de l'Association des optométristes du Québec (1969-1975; 1976).

On lui doit d'avoir été le premier à défendre, devant le gouvernement du Québec, la notion d'optométrie, porte d'entrée du monde oculovisuel.

Au cours de sa carrière, le docteur Jean-François Joly a pleinement assumé son rôle de professionnel de la santé dans notre société. Praticien rigoureux, il a vite compris que la compétence doit être entretenue et la réalité du terrain lui a montré les limites de la théorie face aux besoins de ses patients. Il est donc un adepte de la formation continue et des discussions entre collègues.

La carrière du docteur Joly est inspirante à plusieurs égards. Ainsi, il a voulu occuper plusieurs des champs de l’optométrie, même les moins populaires - c’est un pionnier en vision industrielle - et il a fait la promotion d’une pratique de première ligne qui engloberait l’ensemble des services qu’un optométriste peut fournir à des travailleurs et à leurs familles.

Fondateur associé du bureau Joly Cardin Forget & Associés, il a toujours participé activement à la vie de la communauté d’affaires de Joliette. Au sein de l’Ordre des optométristes du Québec, il a été, tour à tour, vice-président, membre du comité de discipline, syndic et, tout récemment, syndic adjoint. On le retrouve aussi à la RAMQ comme membre du comité de révision et de la Direction des affaires professionnelles.

Enfin, son sens du service public l’a amené à participer à des missions humanitaires à l’étranger. Le docteur Joly représente l’idée qu’on se fait d’un optométriste compétent, engagé, présent à son milieu et partenaire incontournable du système de santé québécois.

Marie Lalanne a été la première femme à la présidence de l'Ordre des optométristes, et ce, de 1993 à 1995.

Son mandat a été caractérisé par la lutte à la désassurance des soins optométriques par le gouvernement du Québec et par la mise en place des règlements relatifs à l’usage des drogues diagnostiques.

Jean-René Marchand a été président du Collège des Optométristes et Opticiens du Québec 1958 à 1959.

Louise Mathers est vice-présidente de l'Ordre des optométristes. Elle a siégé à de nombreux comité conjoints avec l'ophtalmologie, l'optique d'ordonnance et l'Office des Professions du Québec.

Elle est également une administratice du Centre de Perfectionnement et de Référence en Optométrie ainsi qu'administratrice à la Fondation des maladies de l'œil.

Carole Melançon a occupé plusieurs fonctions administratives au sein de l'Association des optométristes du Québec. Elle a, entre autres, été rédactrice de la revue l'Optométriste et responsable du Colloque international sur la lentille de contact, deux outils qui ont permis le développement professionnel des optométristes et leur représentativité.

Elle est active dans le domaine de la rééducation visuelle et très impliquée auprès des enfants ayant des difficultés d'apprentissage.

Langis Michaud a participé à la fondation du RAP-86, devenu par la suite IRIS, le groupe visuel.

Très actif comme étudiant, il fit son entrée en 1989 à l'Association des Optométristes du Québec, dont il devint président (1998-2005). Connu pour ses éditoriaux percutants, on lui doit le règlement négocié avec l'Association des médecins ophtalmologistes du Québec, qui a mené à l'adoption de la loi permettant la prescription des agents pharmaceutiques topiques en optométrie.

Il a été président du CPRO de 2005 à 2007 et siège depuis 2007 à titre d'administrateur et membre de l’exécutif à l'Ordre des optométristes du Québec.

Ayant débuté en pratique privée, il enseigne à l'École d'optométrie depuis 2001 dans le domaine de la lentille cornéenne spécialisée et des pathologies du segment antérieur de l’œil.

Claude Neilson a occupé de nombreuses fonctions au sein de l'Association des optométristes du Québec depuis plus de 30 ans, dont il a été président (1989-1998). Son mandat a été caractérisé par une lutte acharnée contre les coupures budgétaires et la désassurance des soins optométriques, préservant les principaux acquis de la profession.

Il siégea à l'Association Canadienne des Optométristes (1996-2004), dont il fut président (2001-2002). Il a également siégé au conseil des Services Optométriques Inc. (1990-2000), puis de la Fondation québécoise pour la Santé visuelle, depuis 1986.

Dr Thomas-Alexandre Noël a obtenu un baccalauréat ès sciences en biologie de l'Université d'Ottawa en 1996. Il a ensuite poursuivi ses études à l'École d'optométrie de l'Université de Montréal et a obtenu un doctorat en optométrie en 2000. Après sa graduation, il a effectué un stage au Syracuse Veteran Hospital, Department of Ophthalmology à Syracuse, New York, en collaboration avec les Eye Consultants of Syracuse. Le Dr Noël est retourné dans sa ville natale d'Ottawa en 2001, où il pratique l’optométrie depuis. Il fut propriétaire de sa pratique de 2005 à 2019, puis s’est joint au Ottawa Eye Institute Optometrist – Associates, une clinique d’optométrie située sur le campus de l’Hôpital Général d’Ottawa. Il pratique aussi au centre de chirurgie Herzig Eye Institute et à la clinique d’optométrie Urban Eyes.

Sa pratique est orientée vers les soins généraux en optométrie, mais également en suivi conjoint post-chirurgie réfractive, de même qu’en lentilles cornéennes spécialisées pour la correction de la presbytie ou le traitement de la sécheresse oculaire.

Le Dr Noël a été examinateur pour le Bureau des examinateurs en optométrie du Canada (BEOC) de 2002 à 2007, et co-président du Conseil de la santé oculaire de l'Ontario (EHCO) de 2010 à 2016, un organisme qui réunit optométristes et ophtalmologistes, et ayant pour mandat d’améliorer les soins oculaires dans la province de l’Ontario. Il a présenté des conférences au département de médecine de l’Université d’Ottawa à quelques reprises ainsi qu’au 51e Sally Letson Symposium on Glaucoma, premier optométriste canadien à être invité à présenter à plus de 600 ophtalmologistes (septembre 2019).

Sa grande expertise lui valut d’être retenu comme consultant du ministère de la Santé à titre de co-président du Glaucoma Quality Standard Expert Advisory Group de 2016 à 2019. Il a également été membre du Clinical Expert Advisory Group du ministère de la Santé, contribuant à des avis écrits touchant la qualité des soins en cornée, rétine, glaucome et dégénérescence maculaire. Il a aussi contribué à la rédaction d’un guide clinique des soins optométriques pour les personnes atteintes du diabète, du glaucome et de la dégénérescence maculaire, publié dans la Revue Canadienne d’Optométrie (RCO). Il fut aussi le premier optométriste à devenir membre du Provincial Vision Task Force du ministère de la Santé de l’Ontario, un comité qui se penche sur le financement des soins de santé. Il est également directeur du Champlain LHIN Vision Task depuis 2016.

Son leadership en pratique lui a valu d’être élu président de l'Ordre des optométristes de l'Ontario de 2015 à 2017, puis vice-président de l’Association des optométristes de l’Ontario, de 2018 à 2020, et conseiller de l’Ontario auprès de l’Association canadienne des optométristes durant ce mandat.

Comme nous pouvons le constater, Dr Noël a toujours été un ardent défenseur de la profession d’optométrie, dans laquelle il s’est beaucoup impliqué. C’est donc avec fierté que l’École d’optométrie de l’Université de Montréal le reconnaît comme Bâtisseur pour l’année 2021.  

Jean-Claude Proulx a siégé au conseil d’administration de l'Association des optométristes du Québec de 1979 à 1985.

Il a par la suite occupé de nombreuses fonctions au sein de l'Ordre des optométristes du Québec, dont il fut administrateur et membre du conseil exécutif. Il participa à restaurer l’harmonie entre les organismes professionnels.

Il a également collaboré, pendant de nombreuses années, à la formation des résidents en ophtalmologie de l'Université de Sherbrooke en ce qui a trait aux lentilles cornéennes, jetant ainsi des ponts solides entre les deux professions.

Mathieu Proulx, chargé de clinique à l'École d'optométrie de 1965 à 1971, s’est ensuite démarqué par ses nombreuses fonctions au sein de l'Association des optométristes du Québec, où il occupe toujours un poste à l'exécutif.

Il est également membre du conseil d'administration du CPRO, dont il a été un des administrateurs fondateurs. À titre de responsable des programmes d'assurances et de rente de l'AOQ, il a permis aux optométristes d'être les premiers et les seuls autres professionnels autorisés à siéger et à participer aux fonds de la Fédération des Médecins Omnipraticiens du Québec en mars 2002.

Finalement, il fut membre du conseil des Services Optométriques Inc., de 1989 à 2007, le plus grand réseau d’optométristes au Canada.

Jean-Léo Rochon a été secrétaire de l'École d'optométrie (1932) et à ce titre représenta la profession à des conférences nationales et internationales. Il fut l'un des rares optométristes à être élu député (libéral, comté Deux-Montagnes, 1935). Il fut battu par la suite mais réélu, au fédéral cette fois (libéral, comté de Laval 1962-1963-1965 et d'Ahuntsic 1968).

Jean-Marie Rodrigue fut le premier optométriste à ajuster des lentilles hydrophiles au Canada.

Il a permis le développement moderne de l’organisation syndicale de la profession à titre de président de l’Association des optométristes (1976-1986). Durant son mandat, il a doté sa profession d’outils solides de développement économique, social et professionnel tels la revue l’Optométriste, le Colloque international annuel sur la lentille de contact ainsi que des symposiums et des cours de formation multiples précurseurs du CPRO. Il a également mis sur pied la Fondation québécoise sur la santé visuelle. Il a fondé, développé et présidé durant près de 25 ans le plus grand réseau d’optométristes au Canada, les Services Optométriques Inc.

Il a également été président de l’Association Canadienne des Optométriste

Robert Théroux a occupé pendant 25 ans plusieurs fonctions au sein de l'Association des optométristes, dont la présidence de 1986 à 1989.

Il a ensuite aidé à l'harmonisation de la profession en occupant un poste au conseil d’administration et à l’exécutif de l'Ordre des optométristes du Québec.

Erick Zwarts a occupé plusieurs fonctions administratives importantes au sein de l'Ordre des optométristes du Québec. Il a été membre du comité exécutif et de divers comités durant de nombreuses années. Il siège toujours comme administrateur.

Depuis plus de 8 ans, il est très impliqué au sein du Centre de Perfectionnement et de Référence en Optométrie, et il en assume la présidence depuis 2009.

Jérôme Bégin s'est fait remarquer par ses multiples contacts politiques qui ont permis à l'optométrie une reconnaissance publique. Il fut l’un des artisans de la reconnaissance des optométristes, par les politiciens, en santé oculaire.

De façon particulière, ses efforts ont permis de multiples rencontres avec le cabinet du premier ministre et du ministre de la santé lors de l'adoption de la mesure législative donnant le droit aux optométristes d’utiliser les drogues diagnostiques et de prescrire des médicaments oculaires topiques.

Jean Bélanger a été le premier diplômé des cycles supérieurs à l’École d’optométrie. Il a occupé plusieurs postes au sein de comités de l'Ordre des optométristes et de l'Association des optométristes. Il a notamment été président du comité d'inspection professionnelle de 1986 à 1998 et il y siège encore depuis 2003.

Il a permis le dialogue entre optométristes et ophtalmologistes en basant sa pratique sur une collaboration très étroite avec le milieu ophtalmologique, permettant ainsi de rehausser l'image de la profession.

Réjean Bergeron s’impliqua activement à l’Ordre des Optométristes du Québec dès sa graduation. Il s’intéresse alors aux dossiers de communication et d’affaires légales. En 1970, il deviendra par la suite mandaté par l’Ordre des Optométristes du Québec à la commission parlementaire du ministre Castonguay pour l’inclusion des optométristes aux services assurés par la Régie d’Assurance-Maladie du Québec (RAMQ). Il s’investira à la RAMQ professionnellement durant 13 ans.

En 1990, il retourne exercer en pratique privée à Shawinigan en Mauricie et en 1995, il s’établit en Gaspésie où il pratique toujours l’optométrie et s’implique bénévolement au niveau économique, touristique et culturel dans la belle région de La Martre. Finalement, en mars 2017, il décide de prendre une retraite grandement méritée, mais qui demeurera certainement occupée!

Sandra Bernard est impliquée depuis 20 ans au sein de l’Ordre de Optométristes du Québec en tant qu’administratrice et en tant que membres des comités de l’exercice et de la formation depuis 1996.

Dre Bernard est également une entrepreneure qui a bâti avec succès une pratique optométrique florissante à Baie-Comeau, sur la Côte-Nord. Elle représente donc un modèle de l’optométrie en région au Québec, ainsi qu’un modèle pour les optométristes entrepreneurs. Par sa pratique, elle a su démontrer l’importance de s’implanter et de s’impliquer au sein des régions éloignées, afin de desservir ces populations en soins optométriques.

Gaston Bérubé s'est d'abord illustré comme directeur des cliniques de l'École d'optométrie, dans les années 80. Il a travaillé notamment à moderniser le contenu pédagogique et à améliorer l’exposition clinique des étudiants.

Par son association au réseau IRIS, il a influencé la pensée optométrique moderne vers des soins de qualité et la défense de la valeur de l'acte optométrique.

Luigi Bilotto s'est illustré comme directeur de la clinique de l'École d'optométrie et est un fier ambassadeur de l’optométrie au plan international, ayant été impliqué dans la fondation du programme optométrique au Pays-Bas.

Voué à la santé publique, il œuvre actuellement dans le secteur humanitaire et travaille à l'établissement de programmes de formation optométrique en Afrique et dans les pays en voie de développement.

Marc Bolduc a été un acteur important du développement du plus grand réseau d'optométristes au Canada (SOI), notamment en assurant le lien avec les fournisseurs.

Il a également œuvré à la reconnaissance de l’optométrie par les assureurs et les tiers payeurs.

Il œuvre présentement en vision industrielle, domaine autrefois contesté mais qu’il contribue à maintenir sous juridiction optométrique.

Roger Bordeleau s'est illustré dans le domaine de la rééducation visuelle et de l'optométrie pédiatrique.

Il a été le président de l'Académie d'Optométrie du Québec dans les années 60.

Il a été également l'un des fondateurs de l'Optique Richelieu (1963), une des premières organisations commerciales optométriques.

Dans une profession à majorité maintenant féminine, Dre Pauline Caron a été la première femme diplômée de l’École affiliée à l’Université de Montréal en 1938.

Elle a été clinicienne à l’École d’optométrie, épaulant son mari, le Dr Lussier, qui était le directeur de cliniqu

Céline Charlebois s'est impliquée dans l'inspection professionnelle à divers titres. Elle a assumé la présidence du Comité d'inspection professionnelle de l'Ordre des optométristes du Québec de 2000 à 2009. Elle a alors contribué à modifier en profondeur l'approche de l'inspection professionnelle en valorisant l'échange et la formation continue des optométristes en pratique.

Son travail a été couronné par le mérite du Conseil Interprofessionnel du Québec.

Michel Desrosiers s'est illustré en œuvrant à plusieurs reprises lors de missions humanitaires dans des pays en voie de développement.

Jean-Claude Émard a occupé plusieurs fonctions administratives à l'Association des optométristes du Québec.

Il a été pendant de nombreuses années le représentant du Québec au sein de l'Association canadienne des optométristes.

Il a été président de la Fondation québecoise pour la santé visuelle pendant plus de 10 ans et a participé à des missions humanitaires.

Ernest Girard a été très actif au sein de l'Association des optométristes du Québec, de l'Ordre des optométristes du Québec et à titre de coordonnateur du groupe stratégique des associations régionales.

Il a participé à l'entrée de la profession dans le régime de l’assurance maladie du Québec, pavant ainsi la voie à la reconnaissance officielle de la profession.

Il est également à l'origine de l'élaboration et de l'implantation du programme d'aide pour les personnes atteintes de déficience visuelle ainsi que des services de basse vision dans les centres de réadaptation qui leur sont spécifiquement réservés.

Brian S. Goldberg a été un des premiers optométristes à détenir plusieurs boards d'autres provinces canadiennes et à être reconnu par l'American Academy of Optometry (Fellow).

Il demeure un artisan de première importance dans le rapprochement et le dialogue entre l'optométrie et l'ophtalmologie.

Dr Goldberg s’est toujours démarqué par l'utilisation de technologies de fine pointe pour le bien-être de ses patients.

Guy R. Julien a contribué à la formation académique de plusieurs générations d'optométristes en supervisant des stages cliniques à l’École et en pratique privée.

Il a été, avec le Dr Rhéaume, le premier optométriste à établir un modèle de cogestion en chirurgie réfractive, au Québec, pavant la voie à la collaboration optométristes-ophtalmologistes en ce domaine.

Il a été administrateur de l'Association des optométristes du Québec depuis 15 ans et représentant du Québec au sein de l'Association canadienne des optométristes.

Jean-Paul Lachance est l'un des premiers optométristes au Québec à avoir consacré sa carrière à la réadaptation des personnes handicapées visuelles.

Il aura permis, en particulier, de réduire les situations de handicap dont l'accès à la conduite automobile pour certaines personnes handicapées en participant à un programme de développement d'habiletés compensatoires avec système télescopique.

Il a participé à la formation de plusieurs de ses collègues en soins de basse vision.

Fernand Laflamme a été l'optométriste fondateur d'Optométristes Sans Frontières, un organisme affilié à Terre Sans Frontières, qui organise des missions humanitaires afin de procurer des soins visuels aux populations dans des pays en voie de développement.

Jean-Pierre Lagacé s'est illustré comme rédacteur en chef de la revue l'Optométriste depuis 22 ans et comme l'un des optométristes les plus influents quant à l'optométrie pédiatrique et à la rééducation visuelle.

Il a été membre de nombreux comités d’experts autant pour l’Association des optométristes du Québec que pour l’Ordre.

Il siège depuis 4 ans comme administrateur de l’AOQ et du CPRO.

Maurice Lapierre a été chargé de clinique à l'École d'optométrie de 1976 à 1982. Il a également été responsable de la formation continue, sous l'égide de l'École 1982 à 1992.

Depuis 1985, il est co-auteur de Les lentilles cornéennes et solutions — Les agents diagnostiques et thérapeutiques oculaires, un répertoire essentiel à la pratique de la contactologie et de la thérapeutique oculaire au Québec.

Laurent Massicotte a reconnu très rapidement dans sa jeune carrière l’importance de représenter sa profession. Il s’est donc fait connaître par son action politique.

Membre influent de la région de Québec, il a également été l'un des pionniers dans l'implication des optométristes en lentilles cornéennes de spécialité, domaine réservé alors aux ophtalmologistes.

Guy Meunier s'est distingué par ses nombreux contacts politiques, administratifs et d'affaires ayant permis le rayonnement de l'optométrie au cours des années.

Il a occupé plusieurs fonctions au sein de l'Ordre des optométristes, ainsi qu'au sein de l'Association des optométristes, où il s’est distingué par son amour de la profession et sa volonté d’affirmer l’autonomie de cette dernière face à la médecine.

Il a participé très activement au développement de l'École d'optométrie, à la suite du rapport Couillard. Il demeure un facteur d'influence positif pour la profession auprès de la haute direction universitaire et du monde politique.

Jules Plante a été l'un des principaux artisans du plus important effort de formation continue de l'histoire de la profession (médicaments thérapeutiques) de 1999 à 2001.

Il a enseigné à l’École d’optométrie pendant quelques années et a agi à titre de conférencier expert en santé oculaire, tant au plan national qu’international.

Camil D. Quintal occupe depuis plus de 40 ans de nombreuses fonctions au sein de l'Association des optométristes du Québec. Il a été président de la Fondation québécoise pour la santé visuelle. Il a été président du conseil d’administration de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR), président actuel de la Corporation de l’HMR, membre de l’exécutif et membre du comité des affaires financières et matérielles. Il a été élu conseiller municipal à la ville de Montréal en 1957 avec l'équipe Drapeau-Desmarais.

Donald S. Salmon s’est distingué dans le domaine de la basse vision, ayant œuvré au Montreal Association for Blind, où il a accueilli pendant de nombreuses années des étudiants de l'École en stage clinique.

Sa pratique exemplaire lui a valu la reconnaissance de l’American Academy of Optometry. Il figure parmi les premiers Québécois à obtenir le titre de Fellow.

Jacques Sévigny s'est illustré au plan national et international dans le domaine de la contactologie. Il est devenu le premier optométriste québécois et le 5e au Canada reconnu comme Diplomate de l'American Academy of Optometry, section cornée et lentilles cornéennes.

Il a œuvré comme administrateur de l’Association des optométristes du Québec durant de nombreuses années. Il a jeté les bases pour que les optométristes puissent obtenir le droit d’utiliser les drogues diagnostiques et thérapeutique.

Noël St-Germain, diplômé de l'École d'optométrie en 1948, est connu pour ses implications à la Commission scolaire de Lachine, comme échevin de cette municipalité, où il pratiquait, puis comme député libéral provincial (Jacques-Cartier) de 1966 à 1981.

Il a travaillé à l'entrée de l'optométrie dans le régime public d'assurance maladie du Québec.

Jean-Pierre Tchang s'est démarqué par son action humanitaire en fondant l'organisme sans but lucratif IRIS Mundial, organisant des missions humanitaires partout dans le monde.

Il fut membre du conseil d’administration de l’Ordre des optométristes du Québec pendant plus de 10 ans et s’est impliqué en inspection professionnelle. Il fut secrétaire de ce comité, travaillant à la restructuration administrative de ce dernier.

Son action a été reconnue par le Conseil interprofessionnel du Québec.

Hector Tremblay est connu pour ses nombreuses missions humanitaires (33) et son travail infatigable dans ce domaine. Son travail l’a amené à prodiguer des soins aux plus démunis dans 13 pays.

Il a contribué à entraîner beaucoup d'autres optométristes grâce à son implication dans l’organisme Optométristes Sans Frontières.

Marcel Tremblay est un pionnier de l'optométrie québécoise qui a multiplié les initiatives au plan du développement professionnel et social en faveur des optométristes.

Il a de plus été l'un des acteurs importants au plan politique. On lui doit de multiples reconnaissances de l'optométrie, au plan gouvernemental, dont l'obtention du droit d’utiliser le titre de docteur, de signer les passeports canadiens et la détaxation des produits optiques de la TPS. Il a également fait reconnaître l’expertise optométrique à la Société d’assurance automobile du Québec en obtenant que l’optométriste puisse remplir les formulaires d’examens visuels requis